A une époque, sur OPLF, on avait joué à la traduction instinctive de poèmes. J'ai retrouvé ça, et je le recolle ici (c'est ma période "poésie" on dirait).
L'original par CiXi, en norvégien (source) :
Drøm
Hodet i solen
føttene på kalde brosteiner
drømmen vil leve
og lar seg ikke tvinge
ti skylag ned
til den nøkterne
virkelighet
11.12.2005 - La Rochelle
L'interprétation de Galimba (source) :
Orage
Ode qui soleille
N'oublie le pas l'empreinte contenue
L'orage se lève
Qui gémit son sang dans la pierre
qui obscurcit le ciel
tout devient nuit
Mon interprétation (source) :
muette et seule
fouettée par le matin froid
rêver à s'en réveiller
marcher sur le sentier double
où l'on cherche le ciel
jusqu'à la nuit
et l'aube
Celle de dédé (source) :
Unis
Amour o soleil !
Parfois tu décide autrement
Versatilité de la vie
Ou es-ce une petite farce
Si j'avais à l'écrire
Sur nous l'avons été
Quoiqu'il en soit
Allez, à vous maintenant :-) Je mettrai la traduction dans un prochain billet.
5 Commentaires :
La pluie, enfin !
Helas! les solennites
fortuites par la chaleur de mes brodequins
ont drain�, vite et leger,
en long et en large, ma petite twingo
qui du ciel nettoie
jusqu'a devenir clean et terne
ma vitre etincelante!
Excellent, j'aime beaucoup !
Allez, aux autres aussi !!
Oh ! Des idées si lentes !
Fou, thon, cartable, paroles de Gotainer
La drôle de ville se lève
Le vent sec dans une twingo
Ton skyblog est nu
Édenté et terne
Vis sans te lier !
Excellent, excellent, j'adore, merci Obni !!
dans le soleil
l'eau de la fontaine frémit
le rêve s'envole
du lac sous le regard des jumeaux
le besoin du froid
m'appelle vers la nuit
gling gling!
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