lundi 22 septembre 2008

Merci

Pour tous les mots reçus ici, par email, par courrier, par téléphone ou de visu ; pour les pensées et le soutien, pour tout l'amour, la compassion, la compagnie, pour l'empathie ; pour l'aide et la présence offertes, pour les nouvelles prises, pour chaque geste vers nous.


Il n'y a certes pas de mots magiques pour enrayer la douleur, mais tout cela nous sauve du chaos qui règne en nos coeurs.

9 Commentaires :

Anonyme a dit...

C'est une énorme violence qui vous a été faite. On ne se connaît pas "physiquement", mais je pense beaucoup à toi. Je t'embrasse.

samantdi a dit...

Je pense à toi, à vous; votre chagrin nous accompagne. Nous voudrions l'émietter pour qu'il vous soit moins lourd, chacun et chacune derrière notre écran

Merci d'avoir écrit ce billet, comme un mouchoir blanc à ta fenêtre, un signe.

Nous aussi nous sommes là.

Anonyme a dit...

"Merci d'avoir écrit ce billet, comme un mouchoir blanc à ta fenêtre, un signe."

C'est important de dire que tu es importante.

Cécile a dit...

J'ai préféré le mail... parce que tellement de choses à te, vous dire... J'espère que tu l'as reçu, j'espère que tu sais combien mes pensées vous accompagnent...

Anonyme a dit...

Si seulement nous pouvions vous serrer dans nos bras... cela remédierait un peu, si peu !, à notre sentiment d'impuissance face à votre peine.
Alors il ne me reste que la prière.

Anonyme a dit...

J'en ai les larmes aux yeux. L'absence n'est pourtant que physique puisqu'il grandit quelquepart. La rencontre n'est que remise à plus tard...
Une pensée à vous, et à lui.

Anonyme a dit...

J'ai relu "Mon enfant, mon amour" de Renée Mousseau:
"Ce furent alors de longs jours d'abattement, meurtrie par tant de douloureux souvenirs, plus rien ne pouvait me distraire. Je n'avais même plus la ressource de la musique. Mon esprit s'échappait sans cesse de mes lectures, dans ma pauvre tête fatiguée, c'était le chaos.(...)
Par la suite, je découvris la beauté boulversante des poèmes de Paul Eluard sur la mort de Nush. Je me berçais de ses vers."

Courage à vous deux.
Helene

Anonyme a dit...

Pas facile, que ce soit par mail ou en commentaire. Le faire quand-même, pour alléger une douleur et te faire savoir que si on se tait, ce n'est pas par indifférence mais par impuissance.

Anonyme a dit...

Juste un petit mot pour te dire que je viens de lire tes derniers articles, je suis désolée pour vous...