vendredi 31 octobre 2008

Pas grand-chose

Déjà le 31 octobre, et je constate que malgré mon intention je n'ai même pas trouvé de quoi faire une dizaine de billets en un mois. Souvent j'ai une envie et le temps de monter me connecter et l'écrire, l'envie a disparu. En suivant exactement le même cheminement que quand je suis en conférence, qu'il me vient une question pendant la présentation d'un papier, et que le temps que l'auteur finisse je retourne mille fois ma question dans ma tête, me mets progressivement à la trouver de plus en plus ridicule, inutile, déplacée, et finis par la remballer.


Alors...


Alors j'ai une petite faim, tout de suite.

lundi 27 octobre 2008

326 pages* plus tard

(*) Pour dire qu'après mon commentaire au billet de Mowgli j'ai été vérifier ! Et elle fait plus de pages que dans mon souvenir...


Mowgli a fini de rédiger sa thèse. J'ai appris ça aujourd'hui. Et elle commence à se demander comment c'est, l'après-thèse. Alors ça me remet en tête ces questions que moi aussi je me posais, il y a 2 ans (bigre ! 2 ans déjà).


J'ai cru que j'aurais plusse de temps. Pour moi, pour les autres, pour la maison, pour les balades, les photos, le dessin, les envies, mon mari, la vie quoi. Ben non. Le temps gagné sur les recherches et la rédaction a été totalement réinvesti dans du temps de candidature. Je me rappelle, une semaine pile-poil après ma soutenance je devais rendre mon dossier de qualification, toute première étape d'un parcours (si bien décrit par Pandore) qui me parait aujourd'hui interminable. Le lendemain de cette deadline c'était l'ouverture du concours CNRS : un mois de travail acharné, vacances de fin d'année comprises. Quelques semaines à "souffler" en me demandant bien ce qui allait pouvoir sortir comme postes de maître de conférence, à tester mes chances là où le vent semblait me porter, à sentir comment le vent soufflait, tout en préparant mes auditions pour le CNRS. A peine revenue de celles-ci les postes MCF sont parus : re-dossiers. Puis ce fut la préparation des auditions où j'avais gagné mon ticket. Tout ça pour me retrouver, fin mai, avec rien (y compris dans le portefeuille...). Rien que du temps pour chercher un postdoc de toute urgence...


...Postdoc que j'ai trouvé, et que j'ai passé à écrire des articles jusqu'à fin novembre, puis à refaire des dossiers et re-préparer des auditions (entre deux contractions) jusqu'à fin mai. Tout ça pour rien, à nouveau. Et c'est reparti pour une recherche de postdoc.


L'après-thèse, c'est perdre l'entrain que l'on avait gagné pendant la rédaction, perdre l'étincelle de la recherche, dans les méandres des procédures de candidature. Juste après cette apothéose de la soutenance, ce moment magnifique, on se retrouve à patauger dans les descriptions de travaux passés présents et à venir comme si on y était, d'abord en y croyant à bloc et puis petit à petit tout ça devient de plus en plus abstrait, on se dit qu'on a envie d'écrire qu'on fera n'importe quoi comme recherche du moment qu'ils nous prennent, qu'on acceptera de bosser dans une ambiance pourrie avec des collègues blasés, dans une région inconnue et lointaine, qu'on passera sous toutes les fourches caudines du monde si seulement on nous en donne l'occasion. On s'embourbe avec le temps qui passe.


Cette année je voudrais recommencer mon dossier de candidature à partir de rien, plutôt que de repartir de la même base, qui semble-t-il n'est pas suffisamment séduisante malgré tout le bien qu'on a pu m'en dire (et pourtant c'est pas faute d'en avoir reçu, des félicitations à ce sujet). Le billet de Mowgli tombe à pic parce que c'est justement ce que je m'apprête à faire maintenant, dans le mois qui vient, pour me remettre dans le bain du travail, tout en gagnant du temps pour quand je reprendrai le travail et ne pas avoir à y consacrer tout mon temps d'alors. Et puis ça me permettra de faire le point sur ce que j'ai fait, ce que je sais faire et ce que j'ai envie de proposer. Mais pour l'instant ma volonté s'arrête là... à désirer me refaire un dossier tout neuf. Faire des dizaines de candidatures sans dans le même temps pouvoir faire avancer ses recherches, ses véritables travaux, la raison même pour laquelle on fait tous ces dossiers, c'est sacrément usant.

jeudi 23 octobre 2008

Une petite signature, pour la route

Dans bref tour sur mon agrégateur j'ai trouvé ce billet :


Bouriane verte: Roquebrune sur Argens (83): on sort vraiment de la Bouriane


pour aller se rendre compte qu'à Roquebrune sur Argens, le territoire de la commune est interdit de survol aux rolliers, guêpiers et autres PGTR (Pie grièche à tête rousse); à cette fin, un moyen original de les virer a été mis en route : au Verteil, les autorités permettent la construction d'une piste de moto cross et de quads dans une zone Natura 2000 particulièrement riche en oiseaux. C'est peut-être le début d'un bétonnage organisé, courant dans ces régions méridionales.
(...)

Vous trouverez sur le billet de Jean-Pierre tous les liens nécessaires, mais je mets tout de même au moins celui qui permet de se faire une idée de la situation et de signer la pétition :


http://roquebrune.welcometoparadize.com/


Pas trop mon genre de faire dans la pétition, mais là tout de même... c'est chez moi, mince alors ! Et c'est le strict minimum que je puisse faire.

Help needed

Bon, ben comme je ne sais pas quoi dire ces jours-ci (et ça dû se remarquer...), j'ai une question à vous poser : qu'est-ce que je pourrais bien planter dans mon jardin ? En gros, j'ai besoin de plantes qui font des fleurs et qui grimpent le long des canisses, et puis aussi de plantes pour faire des massifs, certains en plein soleil, d'autres à l'ombre. Le tout dans une terre plutôt globalement calcaire, où il gèle en hiver (mais bon modérément tout de même, ça reste en Provence), où le mistral souffle bien, et je voudrais des trucs qui poussent vite, qui ne meurent pas tous les ans si possible (vive les vivaces) ou alors qui se re-sèment tous seuls, et puis, et puis... qui soit rustiques et pas exotiques ! J'ai passé deux jours à parcourir le catalogue du Biau Germe mais comme il n'y a que très peu d'illustrations et que je suis nulle en plantes à fleurs, j'ai beaucoup de mal à me représenter ce que je pourrais tenter :-/


Des idées, des idées ? Parce que moi je sèche grave sur la question !


Y'a aussi mon plan de jardin qui traine, mais je ne sais tellement pas quoi planter, et ce jardin est tellement régulier, que je ne sais pas par quel bout commencer ! Avant j'avais toujours des arbres plantés ça et là, des rochers, des restanques pour me guider dans mon inspiration et ajouter des contraintes avec lesquelles jouer mais là, rien de tel. Juste un grand rectangle, tout plat, avec des canisses sur les petits côtés, le mur de la maison sur le grand côté sud (qui donc fait une partie très ombragée à son pied) et une rangée de cyprès (acides !) sur le grand côté nord.


J'mettrais bien des photos pour vous aider à m'aider (non parce que vraiment, j'ai besoin d'aide sur ce coup-là) mais je n'ai toujours pas retrouvé le câble pour faire le transfert de l'appareil...!

lundi 13 octobre 2008

Bazar du lundi matin

Quelques gouttes de pluie ce matin. Le ciel est bas et gris, quelques oiseaux osent chanter, réfugiés sur le toît pendant que les chasseurs tirent en bas dans les bosquets. Casquettes orange vif que l'on voit pointer entre les branches à intervalles réguliers, grelots et cloches des chiens : ça n'a que peu à voir avec les chasseurs qui cherchent à se cacher pour ne pas être vus du gibier, et se fondent dans la nature pour s'inscrire dans un certain équilibre.


Mon mari est tombé malade à peine quelques heures après m'avoir dit entre ses dents, en rentrant du travail, qu'il était en colère contre le monde entier, parce que le monde entier avait des enfants et pas nous. Puis la fièvre est arrivée et l'a fait pleurer pendant presque toute la semaine. Ma sage-femme m'avait expliqué une fois que la composition des larmes n'était pas la même quand on pleure pour se débarrasser d'une poussière p.ex., et quand on pleure de chagrin ou de douleur : j'aurais été curieuse de savoir quelle était la composition de ses larmes cette fois-ci.


Moi, pendant ce temps, j'ai voulu être "forte" pour l'aider à tenir le coup, être vigoureuse et joyeuse et énergique pour deux. Mes efforts m'ont conduite à un mal de gorge cuisant, qui a disparu quelques heures après avoir pu pleurer tout mon saoul dans ses bras en lui disant tout ce qui se bloquait dans ma tête.


Et il y en a, des choses coincées là-dedans. Quelques jours après l'accouchement je disais déjà que je voyais qu'il y avait une partie de moi que j'avais enfermée et rien que d'y penser j'en avais un vertige fou. J'en ai déjà parlé un peu ici : j'arrive à faire des projets à moyen ou long terme, mais rien pour le présent, et surtout rien pour moi-même. Enfin, je me rends bien compte que c'est faux puisque je m'en sors, et plutôt pas trop mal pour le moment. Mais quand la peine me saisit... je ne vois plus rien clairement. Je me mets à porter un regard qui trouble tout ce que j'aperçois, le travail que je n'ai aucune envie de reprendre, l'aménagement de la maison que l'on n'arrive pas à faire avancer aussi vite que l'on voudrait, les chevaux dont je voudrais m'occuper plus mais je n'y arrive pas, cette peur qui me tenaille de perdre encore quelqu'un, le vide que mon enfant ma laisse. Il m'arrive à certains brefs instants de me surprendre à penser que tout cela n'est qu'un mauvais rêve et que mon fils est là, qu'il va arriver, qu'il est vivant, que c'est juste un moment d'angoisse qui suit tous ces longs mois de questionnements, de chambardements.


Mais non. Mon fils est mort et il pleut ce matin. Notre maison est devenue une habitation pour deux personnes. Je suis en congé et je devrais en profiter pour préparer un nouveau dossier de candidature pour cette année, parce que j'ai décidé de tout refaire à partir de ce que j'ai appris ces deux dernières années, de ce qui a fonctionné, et ce qui a juste fait bonne impression mais sans m'ouvrir de portes. Que si j'attends de reprendre le travail pour le faire, je n'aurai pas le temps de faire ça et de la recherche en même temps, et que ça fait trop longtemps que je n'ai pas fait de recherche intensive, qu'avant ça me plaisait, que l'envie devrait revenir avec la pratique, avec l'approche d'une solution à un problème, avec la sensation d'aller dans la bonne voie, avec la hâte fébrile de voir les résultats d'un test, avec les réponses que l'on voit apparaître des erreurs que l'on trouve.


Oui, j'en parle bien ;-) mais tout ça n'est que de la théorie. Dans la pratique, la première chose que je devrais faire c'est de me chercher un job pour quand j'aurai fini mon postdoc, ce qui va arriver assez vite, et pour cela je n'ai aucune énergie qui me vient.


Et puis dans l'immédiat, mon énergie va se concentrer sur le ménage de la maison qui est devenue un véritable champ de bataille depuis les pluies diluviennes de la semaine dernière... vivement que l'on ait pu planter le gazon.


A part ça, profitant d'un stand qu'ils avaient installé à la fête de la courge, ce week-end j'ai enfin adhéré à Kokopelli (y'a aussi leur futur site, en cours de construction, ). Ça a été une rudement bonne occasion et j'en suis très contente. Et de les rencontrer, en chair en os (...et en sachets de semences !), ça a été une très chouette rencontre.


mardi 7 octobre 2008

Au réveil

Je me suis levée avec mon mari ce matin. J'ai ouvert la porte au chat et j'ai vu les étoiles de la nuit dehors, alors que le froid du matin n'était pas encore là. Puis j'ai vu le jour se lever au travers de la fenêtre, là-bas au loin sur les hauteurs du Verdon que l'on aperçoit jusqu'ici. Mon mari a mis de la musique, a fait du café neuf, m'en a servi une tasse et m'a embrassée en me souriant avant de partir travailler.


Et qu'est-ce que je fais maintenant, je me recouche un peu ou non ?

lundi 6 octobre 2008

Le linge propre

Je me suis levée (trop tard, encore, mais j'ai réussi à gagner trois petits quarts d'heure sur mes horaire de ces derniers jours : je progresse), j'ai mis de l'eau à chauffer et suis allée me débarbouiller. Je suis sortie devant la maison et j'ai bu un café au soleil avec le chien à mes pieds.


Puis j'ai enfilé une veste et je suis allée mettre le nouveau cheval au parc. Quand je suis revenue du parc il s'est mis à tomber trois gouttes, sous le soleil devenu timide. Je me suis tournée vers l'ouest et il y faisait tout gris, avec un gigantesque arc-en-ciel (et je vois que ce n'était pas le seul). C'était beau.


Je suis revenue, j'ai nettoyé un peu le box, et puis je suis allée boire une menthe à l'eau avec les gens de la ferme qui étaient là. Les filles sont rentrées des vendanges très tôt, il n'y a plus grand-chose à faire, cette année ils font presque tout à la machine.


Devant la menthe à l'eau se prépare la réouverture d'un commerce du village, c'est pour bientôt, beaucoup de la ferme en sont, ça intéresse tout le monde et chacun y va de son petit conseil sur les travaux, le mobilier, les techniques de vente.


Je regarde au loin le nouveau cheval qui se fait attaquer par les moucherons, il hoche la tête et remue la queue sans cesse, et je ne sais pas trop quoi faire pour l'en soulager. On a parlé de lui mettre un bonnet, mais on s'est dit qu'il était déjà trop aristocrate sans avoir besoin de le déguiser en plus ;-) Avec un peu de chance il s'habituera.


En fait, le plus dur c'est que là j'ai fait à peu près tout ce que j'avais prévu de faire dans la journée. Et il n'est même pas tout à fait midi. Les filles m'ont proposé de descendre avec elles au village d'à côté cet après-midi, faire trois courses, mais je n'en ai pas bien envie. Je les aime beaucoup mais je peine à prendre leur rythme à elles, elles ont des habitudes qui ne sont pas les miennes et beaucoup ne prennent pas facilement leur place dans le déroulement de mes journées. Et j'aime encore beaucoup passer du temps seule, et ça m'est sans doute nécessaire.


Alors à présent, je me trouve dans le moment où je sais ce que je pourrais faire (ranger la vaisselle propre et nettoyer la cuisine, prendre une grosse douche et m'épiler en attendant que la machine à laver ait fini puis ranger le linge sec et étendre le mouillé, passer un coup de balai dans les chambres,...), mais je n'ai plus très envie de rien. Ou j'ai peur de le faire. J'ai peur de ne pas bien le faire. J'ai peut-être peur d'arriver au bout de ma liste de choses à faire.


On n'a toujours pas retrouvé les clés qu'il faut pour démonter le lit de bébé qu'on avait mis dans la pièce qui devait être sa chambre. On y passe de temps en temps, mais on a complètement désinvesti cette pièce, on ne l'utilise plus telle qu'elle devait l'être et pas encore telle qu'elle le sera finalement. Et il y a toujours ce lit qui brise notre volonté, même si l'on n'en parle pas, même si l'on se contente de penser à autre chose, de ne pas le regarder quand on passe. Il y a aussi les cartons de vêtements de bébé que l'on avait laissés ouverts volontairement mais que l'on pourrait fermer et stocker à présent, il suffirait de mettre les boules de cèdre dedans, de les scotcher et puis de les mettre... où ? Je ne sais pas où l'on va les mettre, j'ai peur de les ranger dans le grenier, j'ai peur qu'ils prennent l'eau, se fassent ronger par des bestioles, je ne sais pas si ça craint ou pas mais j'ai peur de les laisser dans un endroit où l'on ne peut pas veiller à ce qu'ils soient protégés. Mhhh. Je réalise que j'ai terriblement peur de tourner complètement la page (même si ce n'est pas la présence de ce lit ni de ces cartons qui y change vraiment quelque chose en réalité, je le sais bien). Sur le coup je trouvais infiniment glauque ces parents qui ne touchent pas à la chambre de leur enfant disparu, mais à présent je peux comprendre ce qu'ils ressentent et ça n'a rien de glauque. C'est une paralysie.


Les nuages se sont dissipés maintenant. Il va faire chaud cet après-midi. J'ai envie de boire un autre café, et quand je serai en bas je sais que machinalement je finirai par le vider, ce lave-vaisselle propre. Que je me ferai à manger, puis que j'irai chercher quelques herbes sèches à placer dans le vase que l'on nous a offert hier, et que ça remplacera les roses qui à présent sont fanées. C'est joli, des bouquets dans la maison. Je regarde l'étendoir à linge et me dis que je peux le faire. Je peux le faire.


Parfois, le goût à la vie tient juste à un bout de drap sec qui attend sur un étendoir au soleil.

samedi 4 octobre 2008

Pas trop d'idée

Je ferais bien un petit billet ce matin, mais je ne sais pas de quoi parler.

jeudi 2 octobre 2008

Le petit nouveau

Le premier est arrivé hier soir, avec quelques jours d'avance. Il est venu tout droit du Danemark (enfin pas exactement en fait : il a fait une pause au Luxembourg), en camion, un drôle de trajet pour lui sans doute. Il est sorti du van tout alerte, a marché un moment pour se remettre la circulation en route et a senti partout, a regardé tout ce monde autour de lui qui venait l'accueillir. Ça doit être tellement différent du milieu qu'il a quitté...


Il est grand le petit nouveau, bai brun foncé, un jumper à la retraite d'après son maître, pas peu fier de le faire défiler sous nos "waaaaa" admiratifs. Le poil court et brillant, l'allure fière et fine, une petite marque en tête si j'ai bien vu, il ressemble à une genre de selle français - mais qui serait made in là-haut. Il va prendre un peu de temps pour se mettre au diapason de la ferme parce qu'actuellement il dort dans un box et mange des céréales (son maître a dit : "No grass !" et j'ai pensé "Ben va y avoir du boulot..."). Il a même une couverture pour les nuits un peu froides (mais entre ici et son pays d'origine la notion de "froid" ne doit pas être tout à fait la même... j'imagine).


Ce matin ils l'ont mis en parc avec d'autres chevaux de la ferme. On verra comment ça se passera pour faire connaissance, s'il se fait des amis. Au moins, eux n'auront pas le problème de la barrière de la langue... qui nous a rendu la tâche ardue hier soir : comment fichtre est-ce qu'on peut bien dire "licol", ou "sellerie" en anglais, hein ?


[ La réponse est : halter pour "licol", et saddlery pour "sellerie" ; merci WordReference ;-) ]


Tout à l'heure j'irai lui faire un coucou, voir comment ça se passe. Et puis j'irai voir les sabots du cheval déferré aussi, pour observer comment se passe la transition. Pour l'instant il demande une de ces concentrations pour marcher, c'est impressionnant ! Tant de sensations à réapprendre...